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mercredi 28 septembre 2016

LE RÔLE DE LA FEMME



Causerie sur une pensée du Maître Le 9 mai 1941


Le Maître dit:
Le jour où la femme changera la position dans laquelle Dieu l'a placée, l'homme ne l'aimera plus. C'est déjà ce qui arrive un peu aujourd'hui.

L'homme est Dieu pour la femme. Celle-ci doit toujours voir que Dieu vit dans l'homme, et pour que Dieu l'aime elle doit mériter son amour en faisant quelque chose, en travaillant pour lui. Bien des femmes ne seront pas contentes en m'entendant, elles diront que cela est bon pour des orientales, des asiatiques. Les françaises ne sont pas habituées à cette attitude.

En effet les asiatiques pensent que l'homme est un dieu. Les femmes aiment vraiment leur mari et les maris aiment leur femme. Mais ici les hommes n'aiment pas les femmes et c'est parce que les femmes les considèrent comme très peu de chose. L'homme, de ce fait, n'est pas inspiré pour aimer la femme. Si vous voulez attirer l'amour de quelqu'un, pensez que cette personne est Dieu, que Dieu vit en elle, et elle ressentira envers vous un amour extraordinaire.

Dans des conversations particulières que j'ai eues avec lui, le Maître me disait que pour que l'homme et la femme s'aiment, ils doivent avoir trois points communs, un dans le coeur, un dans l'intellect et un autre dans le corps physique. C'est pourquoi la femme doit savoir préparer de très bons plats, c'est indispensable. Secondement dans le coeur elle doit aimer, croire, avoir confiance.

Troisièmement elle doit lui montrer très souvent qu'il a raison dans ses jugements, car l'homme est enchanté que la femme le trouve magnifique dans ses jugements. Il l'aime et la protège. Si la femme ne sait pas cuisiner, si elle n'a pas confiance en son mari, et si elle ne croit pas la valeur de ses jugements, il ne l'aimera pas. Mais si elle fait ces trois choses, il se sentira si bien auprès de la femme qu'il sentira le besoin de l'avoir auprès de lui, de la garder près de lui pour l'inspirer. Il sera même étonné que sa femme l'admire lorsqu'il fait des choses bêtes.

Jusqu’où cela peut-il aller ? Naturellement, il ne faut pas tomber dans des exagérations. Il y a une mesure raisonnable. Il ne faut pas être grotesque, car dans ce cas, l'admiration de la femme deviendra une comédie. Un homme que sa femme admirerait même pour de grosses absurdités, finirait par se vanter devant tous d'être quelque chose d'unique, de magnifique aux yeux de sa femme, comme certains le font.



Ce que je veux vous dire, c'est seulement que la femme ne doit pas trop souvent dire à l'homme que son jugement est faux.

En France, les femmes font tout le contraire. Elles écrasent l'homme sous leur mépris et font tout ce qu'elles peuvent pour le minimiser. J'ai souvent assisté à pareille chose.

Je sais bien que vous pensez: "Frère Mikhaël, ce n'est pas par méchanceté que les femmes françaises écrasent leurs maris, se moquent d'eux sans cesse. Elles possèdent simplement cet humour français que l'on voit fleurir dans les music-halls, où l'on ne cesse de se moquer de tous, jusqu'aux chefs de gouvernements, pour faire rire le public". Je vous réponds: vous ne connaissez pas les destructions résultant d'une telle méthode qui expose les autres en public. On efface ainsi tout ce qui est sacré, tout ce qui mérite d'être estimé et respecté. Chacun se met à penser qu'il a le droit de se moquer de n'importe quoi. Mais ce faisant, on a diminué la confiance qui existait dans les écrivains, les artistes, les chefs, à cause de cette lumière dans laquelle on les a montrés à tous, du ridicule jeté sur eux. On dit: "C'est l'esprit français". Oui, mais cet esprit détruit l'esprit de la nation, de tout ce qui est sacré et sanctifié. Tôt ou tard, une pareille habitude mène loin. Personne ne croit plus à la tête qui dirige. Dès qu'on a montré un chef dans un éclairage grotesque, on s'en moque alors bientôt devant lui, consciemment ou inconsciemment. On n'a plus aucune estime ni aucun respect pour lui, et le chef se sentira ridiculisé, incapable, parce qu'on se moque de lui.

En Bulgarie, pareille chose n'existe pas. On n'a pas le droit de se moquer, d'exposer les personnages en public pour rire d'eux. Dans d'autres pays il en est de même. Les savants, les peintres, les écrivains, les chefs ne sont pas exposés chaque jour à la moquerie publique et traînés dans les ordures. C'est pourquoi ils peuvent réussir. Celui qui ne cesse d'être exposé ne peut rien produire. Par contre, j'ai vu des criminels, des gens indignes qui, lorsque deux ou trois personnes croyaient en eux, se mettaient à faire des choses qui dépassaient leurs qualités, à cause de l'ambiance qu'on leur avait préparée. Certains qui étaient des faibles ont fait des choses héroïques à cause de cela. Mais si nous nous moquons, nous coupons les ailes même à des êtres capables. En France on l'a fait bien souvent en ridiculisant des personnalités en vue. Je ne vous parlerai jamais assez de cette habitude destructive. Elle est pratiquée dans les familles, dans les théâtres, partout. Cela augmente l'appétit de la rencontrer partout. Cependant, n'y a-t-il pas d'autres habitudes meilleures? D'après l'analyse que le Maître m'a enseignée, lorsque je mets des éléments dans mon laboratoire, je vois de suite s'ils sont empoisonnés ou nutritifs.

Beaucoup de personnes pensent qu'il est amusant de faire rire les autres. Au théâtre, j'ai vu ridiculiser les apôtres, Saint-Pierre et même Jésus-Christ. On n'a aucune mesure en ceci. Mais cela peut entraîner de grandes conséquences. Il faut éduquer les enfants autrement désormais. Avant tout il faut que l'enfant ait quelque chose qu'il admire, qu'il vénère. Enlevez cette vénération, ces sentiments sacrés devant un idéal, et l'enfant devient une branche morte, un engrais chimique bon à être jeté au feu pour être brûlé ou enfoui dans le sol pour servir aux autres. Je vous parlerai encore d'autres lois qui peuvent détruire des peuples et provoquer des plaies inimaginables qu'il faut ensuite guérir à grand peine.

On fait des plaisanteries innocentes, mais elles sont très dangereuses car elles diminuent et détruisent la foi. En conséquence, à cause d'elles, il ne peut y avoir de sociétés. Quand il n'y a qu'une tête et qu'on n'a pas confiance en elle, elle ne peut fonctionner. Elle se sent chancelante et ne peut plus agir. Si dans une société vous sentez qu'on vous aime, vous pouvez parler, dire des choses magnifiques. Si, au contraire, certains vous contrarient au-dedans, vous vous sentez devenir glacé. Quand on refroidit quelqu'un, quand on lui envoie des courants glacés, nous attendons qu'il nous parle, mais il ne le peut pas. Réchauffez-le par la confiance, l'estime, de bonnes pensées, et vous verrez ce qu'il se produira, ce qu'il y a en lui.



Propos de Omraam Audio MP3 sur le blog de Francesca http://herosdelaterre.blogspot.fr/

vendredi 23 septembre 2016

Comment être à l’aise dans sa peau de femme


Il faut d'abord intégrer tout ce qui constitue sa personnalité, sa propre histoire, c'est primordial. Un malaise par rapport à sa féminité peut trouver son origine dans le passé, la petite enfance : on peut par exemple avoir été bien ou mal accueillie en tant que fille ; on peut avoir été blessée dans ses relations avec les garçons ; mal vivre l’apparition des premières règles, les cycles, les transformations du corps à l’adolescence. On peut vivre plus ou moins bien une méthode de contraception, une grossesse, un avortement, etc… 


Ensuite, on peut se demander quel rapport on entretient avec le sexe opposé dans la vie quotidienne, sociale et professionnelle : est-ce que je cherche à inspirer confiance, à garder distance ou à séduire, à exhiber mon corps ou au contraire à me protéger ? Et il faut chercher le pourquoi de mes réactions.
Enfin, il ne faut pas faire l’impasse sur la question du sens de sa vie. Il nous revient d’inventer le visage de la femme du troisième millénaire et selon moi, cette femme ne peut pas se vivre bien sans exister avec – et pourquoi pas pour – l’homme et les enfants.
 
Au fond, la femme ne trouve-t-elle pas autant de joie à aimer ? Dire cela, ce n'est toutefois pas prôner un retour à de vieilles formules étriquées ; il nous faut comprendre ce qu’est la nature de la femme, et celle de l’homme, pour créer une nouvelle conjugaison respectueuse de chacun, et permettant l’éclosion de chacun.


Il faudrait donc construire sa personnalité comme un tout : en intégrant appartenance sexuelle, psychologie, compétences, rôle social et aspirations personnelles ?


Je dirais même que cette unité est la voie du bonheur ! Peut-être même que l’homme a un rôle à jouer pour nous aider à la découvrir … ! Est-ce que je lui laisse la place de me le montrer et de m’y aider ?


Extrait de l’article paru sur http://www.reussirmavie.net/

Cercle de femmes de sororité



Pour qui ? Pourquoi ?
 
Le féminin dans sa puissance et sa grandeur s’ouvre actuellement.
Il y a de multiples manières de pouvoir vivre dans la sororité.

Ce terme se remanifeste dans notre dictionnaire français, Il est alors l'expression de la solidarité entre femmes. Il s'apparente à la fraternité. La sororité désigne les liens entre les femmes qui se sentent et se reconnaissent dans leur similitude et leur appartenance. C’est un état d'unité, entre plusieurs femmes, un sentiment qui dépasse ‘ je seule’, pour rassembler plusieurs « je » et créer un « nous ». ‘L’union fait la force…’.selon le proverbe et la devise belge, son œuvre agit plus intensément et puissamment. Cet ensemble porte à son fondement le respect et la considération de la personne humaine et divine et particulièrement du Féminin Sacré.



Un cercle de femmes est constitué uniquement de femmes qui ont envie de se rencontrer dans l’humilité, le respect et l’humanité.

Lorsqu’une femme décide de faire partie d'un cercle, sa place est égale à celle de toutes les autres femmes.

J’appelle ces rencontres ‘cercle de Femmes’ par sa définition première : Un cercle est une forme à la circonférence ininterrompue ;c'est un symbole de plénitude, d'intégrité. C’est un principe et une forme qui va à l'encontre de l'ordre social, de l'ordre hiérarchique supérieur/inférieur de l'attribution d'un possible de comparaison.
Que la femme soit en chemin, novice, initiée, ces cercles lui sont ouverts.

Toute femme est la bienvenue pour retrouver, rencontrer ou découvrir les profondeurs de son Féminin.

La Vibration du Féminin Sacré qui m’habite et m’accompagne, anime ces cercles et ces rencontres.

Plus qu'un cercle de paroles, les cercles que j’initie, nous invitent à la rencontre de nos profondeurs de femmes et à la découverte de nous-même...Chaque fois différent, il demeure unique à vivre et mystérieux à se déployer.

Ils réhabilitent ce droit au Féminin divin dans la matière.


Les cercles de sororité apportent :
- une initiation ou un approfondissement de la solidarité féminine, 
- des guérisons de blessures engendrées entre les femmes, 
- une réconciliation, une démarche de pardon entre les femmes, auprès des histoires entre elles, que celles-ci soit portées de génération en génération ou que celles-ci soit d’une échelle similaire.

- une œuvre d’amour pour le collectif du féminin puis du collectif de l’humanité
- l’honneur à la puissance du Féminin




Le cercle de sororité appelle à la paix des sœurs.

Réapprendre la confiance entre femmes, oser repartager son intime avec d’autres matrices en respect, certitude et joie de dévoiler son individualité féminine, est primordiale dans le chemin de la sororité.

Il est essentiel de se réconcilier avec notre féminité, avec notre corps de femme mais également de femmes à femmes avant d’œuvrer ensemble pour le collectif.

Le Féminin Sacré
C’est un choix de nous reconnaitre, de nous RE connaitre, porteuse, de ce féminin, de nous reconnaitre engagé, envers cette sacralisation de cette ouverture de conscience planétaire actuelle du féminin.

Car le Féminin est une énergie d’Union et non de comparaison ou de compétition…

A l’heure actuelle, il y a une nouvelle naissance du Féminin à laquelle, nous sommes en CO NAISSANCE de celle-ci.

Chaque être est à sa place, chaque être, homme ou femme a à enseigner, a à transmettre cette énergie dans sa structure, que nous soyons une petite femme, une grande femme, une femme avec de longs cheveux, une femme avec des cheveux courts, une femme avec des énergies de douceur, une femme avec des énergies de guerrière, une femme avec des énergies de tendresse, que nous soyons un homme, un homme guerrier, un homme protecteur, un homme de connaissance, etc. etc., chaque être porte et connait et transmet cette énergie de ce féminin quel que soit sa structure, quel que soit sa place, quel que soit sa forme énergétique.


Le féminin sacré n’a pas un type même, le féminin sacré n’est pas une manière d’être telle que… Il est diversifié, il est dans chaque structure homme et femme.

De magnifiques hommes sur cette Terre portent en eux un magnifique et merveilleux féminin et masculin sacré.

De grands hommes sont fort connectés à cette expression du féminin sacré à travers eux. Par exemple, Le Dalaï-lama. Observez cet être porteur de ce féminin, dans un corps d’homme.

Inutile d’œuvrer ce féminin dans un métier, dans une action, dans un évènement, dans une structure, il est partout et toujours avec nous, Nous sommes libres et responsables de l’émaner à chaque instant. Et, bien sûr, nous pouvons poursuivre au partage et à l’échange de nos énergies par des Co regroupement de différentes énergies féminines permettant l’union fessant la force

Que chaque être puisse retrouver la puissance du Féminin sacré, que chaque Yoni puisse retrouver la guérison du féminin sacré, que chaque Vajra puisse retrouver la guérison du féminin sacré, que chaque conscience puisse retrouver la guérison du féminin sacré,

L’énergie du féminin est une énergie d’amour et nous pouvons nous rappeler que le don de guérisseur que la plus belle guérison, que la seule guérison, que le pouvoir de guérison est l’amour…




Emma GRILLET
Tantrika et Channel
www.emma-grillet.fr

mardi 20 septembre 2016

L’émotion au féminin


 

Pourquoi, les femmes sont-elles le "sexe fort" en matière de sensibilité et d’expression des émotions ?
Sans remettre en cause la théorie freudienne, c’est justement au cœur de la vie émotionnelle que les psychologues comportementalistes traquent aujourd’hui la féminité. Selon eux, la différence sexuelle passe d’abord par un rapport spécifique aux émotions. Une différence qui apparaît très tôt.
Plusieurs études américaines le confirment : les nouveau-nés de sexe féminin sont déjà très réceptifs aux états d’âme de leur entourage, ils fondent en larmes quand un autre bébé pleure. Côté garçons, pas de réaction. Les filles se révèlent donc de grandes émotives et d’intenses gazouilleuses. Des spécificités aussi précoces sont forcément innées, est-on tenté de penser.

Non, affirment la plupart des chercheurs. Les psychologues de renom Cunningham et Shapiro estiment que le talent émotionnel des filles est le fruit de leur effort pour surmonter un handicap. Physiquement, elles ne sont pas aussi expressives que les garçons : elles crient moins fort et s’agitent moins. Aussi, pour communiquer leur ressenti, sont-elles obligées, dès les premiers jours, de forcer le trait, d’en rajouter. Un handicap qu’elles compenseront lorsqu’elles sauront parler, en verbalisant leurs émotions. Cet effort initial expliquerait que les filles, une fois adultes, révèlent plus facilement leurs sentiments et identifient ceux des autres. D’où aussi la célèbre intuition féminine.

L’agressivité


"La seule émotion pour laquelle les filles sont moins douées de façon innée, c’est l’agressivité, parce que cette dernière est favorisée par les hormones mâles, précise Yolande Dupré, psychothérapeute. La preuve nous en est fournie par les cas de malformation congénitale de la glande surrénale – qui secrète une bonne part des hormones mâles – appelée hyperplasie surrénalienne. Les fillettes qui en sont atteintes sont plus “androgynéisées” que les autres. Plus agressives, elles jouent à des jeux physiques et avec des jouets réservés ordinairement aux garçons dont elles préfèrent la compagnie. Mais, une fois soignées, leur agressivité décroît et elles se tournent vers les poupées et les dînettes."
Si les gènes ne comptent guère dans l’adoption de conduites masculines ou féminines, les parents, en revanche, jouent un rôle déterminant. Imaginons qu’ils souhaitent un garçon mais donnent naissance à une fille. Son accès à la féminité peut être compromis : captant inconsciemment le désir parental, elle sera tentée de se masculiniser pour être mieux acceptée.
De plus, les parents ont une idée précise de la façon dont une fille – ou un garçon – doit réagir, penser, jouer. Même quand ils sont persuadés d’être totalement objectifs. Des chercheurs d’une université américaine se sont livrés à l’expérience suivante : on montre à un groupe de parents la photo d’un bébé en larmes et on leur demande pourquoi il pleure. Si on leur dit que cet enfant est un garçon, les parents affirment qu’il est en colère, une émotion plus "virile" que la peur ou la tristesse. Si on leur fait croire que c’est une fille, ils attribuent ces sanglots au chagrin : "Une fille, c’est sentimental !" "Les réactions des adultes aux émotions du bébé ont des conséquences importantes sur la manière dont les enfants ressentent plus tard leurs propres émotions", explique le psychiatre Alain Braconnier

(A LIRE : Le Sexe des émotions, Odile Jacob).


Les femmes, la violence et la paix



TOUS LES 8 MARS, la Journée Internationale de la Femme célèbre la victoire de toutes celles qui, grâce à leur courage et leur détermination, font reculer partout dans le monde l’injustice et les discriminations dont elles sont l’objet.

Mais la Journée de la Femme met aussi chaque année en lumière, avec ses rapports accablants sur les violences faites aux femmes, qu'il reste encore un long chemin à parcourir avant que les droits de l’homme deviennent aussi ceux de la femme. 





Selon Amnesty International, les engagements de nombreux gouvernements en matière de protection des droits de la femme ne sont que « discours creux et promesses en l’air. Dans de nombreuses régions à travers le monde, les femmes continuent d'être traitées comme des citoyens de seconde classe. Chaque année, d'innombrables femmes et adolescentes sont mutilées, battues à mort, brûlées vives, violées, vendues ou louées à des fins domestiques ou sexuelles… »

De nos jours aux Etats-Unis, une femme est maltraitée toutes les huit secondes, et une femme est violée toutes les six minutes. Selon un rapport du Sénat américain, la violence conjugale y est plus répandue que les accidents d'automobile, les agressions et les décès liés au cancer. En France, une enquête du Gouvernement vient de révéler que tous les quatre jours, une femme tombe sous les coups de son partenaire.

Ces exactions reflètent le fondement de notre civilisation, basée sur la domination, le pouvoir et la brutalité. La violence, l’ambition, le matérialisme, et l’égoïsme y règnent en maîtres aveugles et souverains, au mépris de l’amour et du respect de la vie.

Quelle que soit la forme que prenne la violence exercée à l'égard des femmes, des discriminations sexistes aux violences conjugales, des abus physiques aux viols collectifs utilisés comme arme de guerre, elle n’est que la triste répétition d’un cycle infernal, un odieux crime contre l’humanité.

Le genre féminin est pacifiste dans son immense majorité. Si certaines femmes ont développé des qualités masculines et guerrières, c’est pour lutter et s’affirmer dans un monde où le masculin est omniprésent. 

Mais les femmes sont rarement assoiffées de pouvoir, de profit ou d’ambition. Une femme n’a pas un penchant naturel pour la fabrication des armes et la guerre. Elle n’est pas excitée à la vue d’une arme à feu, et ne prend pas plaisir à tuer.

La femme porte et donne la vie, son inclinaison naturelle est de la nourrir et la protéger, non de la détruire et de la violenter.

Depuis des siècles, les hommes ont laissé un héritage de guerres, de violences, et de destruction, auquel l’humanité, et en particulier les femmes, a payé un lourd tribut. Seuls les hommes qui ont élevé leur conscience, et laissent s’exprimer leurs qualités féminines, manifestent les qualités de la non-violence, l’écoute, et le respect de la vie. 

De fait, aujourd’hui le combat des femmes pour leurs droits et leur liberté n’a plus rien du féminisme et des vieux clichés dont on l’a affublé. 

Il est juste l’expression d’une conscience plus élevée. 

L’intuition que les choses doivent changer, et que le moment est venu d’expérimenter le Féminin, pour guérir l’humanité, malade de sa violence machiste et de son cruel déséquilibre entre le Masculin et le Féminin, et donner enfin une chance à la paix !




Brenda

vendredi 16 septembre 2016

FEMME : Vivre Le Sacré




Entretien avec Marie-Jésus SANDOVAL - AMRITA

Tantrika et chamane, Marie-Jésus Sandoval Amrita propose des initiations à la sexualité sacrée pour les hommes et les femmes, les célibataires et les couples. Elle aide aussi les femmes à renouer avec leur puissance. Pour elle, vivre le sacré revêt de multiples dimensions.



Pourquoi avoir besoin de vivre le sacré ?

C’est bien ce que je me demande ! La vie n’est-elle pas suffisamment sacrée ainsi ? A-t-on besoin de lui donner plus de valeur ? 

Vouloir vivre le sacré, au-delà de tout dogme, c’est poser et relier la Conscience de ce que Sa-Créer en moi. C’est lui donner une dimension psychocorporelle pour sortir enfin des guerres intestines…

Vouloir vivre le sacré implique de sentir à un niveau plus profond le sens que je donne à ma vie. C’est l’expression d’un chemin intérieur qui se défie des croyances.
Pour moi, le sacré est un espace relationnel qui me permet de vivre avec intensité l’instant présent. Je me sens nourrie et contentée. 

Le sacré, c’est aussi l’acceptation que chaque inspire et chaque expire nous rappellent notre dernier souffle, nous invitant à accueillir avec sagesse et sérénité le temps du pas-sage.

Le sacré appelle-t-il un autre rapport au temps, un autre regard ?

Tout à fait ! Il nécessite d’appuyer sur le bouton « pause » de la télécommande de ce tourbillon de la vie qui s’accélère sans cesse, un tourbillon de consommation, d’obligations, d’habitudes… 


Vivre le sacré, c’est vivre de façon extraordinaire des choses ordinaires, non pas pour les magnifier mais pour leur redonner toute leur valeur, toute leur saveur. C’est donner à cet espace qui ralentit la possibilité de respirer profondément, c’est apporter un second souffle, nous nourrir et nous remplir de ce beau en nous, cette délicatesse du cœur qui nous révèle toutes ces façons de conjuguer le verbe aimer la vie. Développer l’Amour de la Vie dans la fierté d’être un homme ou une femme. Être dans la profondeur du cœur, l’émerveillement. « La beauté est dans l’œil de celui qui regarde ». Quand on vit dans le sacré, on accueille notre humanité tout en espérant rencontrer notre divinité. 



Le sacré s’est-il perdu ?

Oui, il s’est perdu quand l’homme est passé de la vie nomade à la vie sédentaire : il a alors perdu le lien avec la nature et peu à peu avec sa nature profonde. Le chaman en lui, relié aux esprits des plantes, des animaux, des éléments et du monde des esprits s’est endormi pour laisser place au conquérant. Le cerveau droit et le cerveau gauche sont entrés en lutte.

Comment y revenir aujourd’hui ?

En se souvenant que le sacré n’est pas le rituel mais l’expérience personnelle de ce que cela CRÉE en soi. Ce retour à notre vraie nature est plus que jamais porté par les femmes. Non pas pour revenir au matriarcat mais pour permettre aux valeurs de cette expression primordiale de l’humanité de soutenir la vie et toutes ses formes d’expression.

Peux-tu nous en dire plus sur ton rapport au Féminin sacré 

Le culte de la Déesse Mère Universelle des origines est un culte matricien qui vénérait le pouvoir originel de la femme. La femme est magique comme la terre. Elle donne la vie et la nourrit. Tel était le pouvoir devant lequel on s’inclinait. Le lien entre la Terre et la Femme a donné naissance au culte de la Déesse Mère, fertile et nourricière.

En ces temps les femmes portaient la vie dès leurs premières menstruations. La vie du clan s’ordonnait autour de la relation entre la mère et l’enfant. On trouve des ouvertures aux formes vulvaires peintes en ocre rouge, honorant le sang de la vie, des femmes, des lunes. Le lien entre la Terre et le Ciel, les menstruations étant en lien avec le cycle lunaire. Le symbole du serpent est associé au culte matricien.



D’autres symboles sont-ils associés au culte de la Déesse Mère ?

Les pierres levées sont vénérées comme des points d’accumulation d’énergie, des points d’acupuncture : elles symbolisent l’œil cosmique de la Déesse. Ces lieux de culte s’articulent autour du cercle pour célébrer les rythmes des saisons : solstice et équinoxe, pleine lune et nouvelle lune.

Un changement récent s’est produit dans l’histoire de l’humanité. Il y a 6 000 ans, on a cessé de vénérer la Terre et l’élément féminin. La révolution agricole a bouleversé la relation avec la terre. Il ne suffisait plus d’accepter les bienfaits de la terre mais de maîtriser ses forces prodigieuses. Quand l’homme s’est sédentarisé il a voulu posséder la terre puis la femme. 

Avec quelles conséquences ?

Le symbole du « conquérant » a bouleversé la place des femmes dans la société. Privée du pouvoir lié à la terre nourricière, la femme a perdu sa liberté d’être sexué, porteuse de vie et de vitalité.

Le culte de la matrice a été diabolisé, l’entrée du temple - la vulve, le vagin, l’utérus, en un mot la yoni (en sanscrit) - a été séparée et sectionnée. 

Comment sortir de cette séparation ?

Grâce à la roue Médecine de la réconciliation de l’homme et de la femme. Elle est cette comme-union entre l’énergie des organes de la vie et l’énergie du cœur.

Ce qui a été séparé peut à nouveau être réuni. Le masculin portant le féminin et inversement. UNIDOS. Union des principes Masculin et Féminin car toute aventure humaine commence dans le ventre d’une femme…..

Cette union nous ramène à Dieu comme Conscience, espace universel qui anime le monde fait de vibrations, molécules, atomes… Dieu comme expression du vivant, d’une fraternité du vivant dans tous les aspects et tous les règnes : minéral, végétal, animal, terrestre, extra-terrestre…

Le mot de la fin ?

Revenir au sacré, c’est vivre une expérience au cœur de nous-mêmes qui nous ouvre un chemin spirituel, une transformation intérieure. C’est développer les qualités et les valeurs du cœur, nos intentions… Cela génère en nous la magie de la présence, la dévotion, l’adoration, l’écoute intérieure. C’est là où j’ai le sentiment d’œuvrer. 


Renseignements – Inscriptions : 


Pour en savoir plus, procurez-vous le nouveau livre "Et tu seras chamane!" la biographie de Marie Jésus SANDOVAL-AMRITA par Jean-Luc Nussbaumer.


Les 8 portes pour accéder à la beauté



Nous avons un pouvoir fabuleux, un pouvoir inestimable, un pouvoir que nous ignorons ou que nous n’évaluons pas à sa juste mesure. Ce pouvoir est celui de faire de chaque jour un moment unique, un sacré moment, un moment sacré. 
Nous avons cette capacité de choisir le regard que nous voulons poser sur notre vie quotidienne. Nous pouvons voir l’existence tout en gris sans nuances et sans aucun sens. Ou bien nous pouvons changer de lunettes et voir la vie différemment, y voir de la couleur et y mettre du sens.

Pourquoi est-ce si important de faire entrer les petits miracles dans sa vie?

Parce qu’à chaque instant où nous sommes réceptifs à ce genre de situations, nous avons l’impression d’avoir reçu un très beau cadeau. Nous avons l’impression d’avoir été, un court instant, privilégié. Il s’agissait d’un petit miracle et donc oui, nous sommes des privilégiés car la vie nous a parlé ou plutôt elle nous a répondu. 
Vivre des petits miracles nous permet de vivre la vie plus facilement car elle prend soudain une tout autre dimension. Nous nous sentons connectés avec notre environnement, avec l’univers, et la vie nous semble plus simple. 


Quand les petits miracles s’invitent dans notre vie, c’est comme si on mettait de la couleur dans notre quotidien. C’est comme si les choses prenaient un relief différent. Quand nous commençons à être capable de nous ouvrir à ce type d’expérience alors les portes s'ouvrent sur d’autres expériences similaires. Nous nous apercevons que les coïncidences sont plus nombreuses, les belles rencontres plus fréquentes, les opportunités plus présentes.





La beauté sauvera le monde. Dostoïevski

Mais c’est quoi au juste un petit miracle ?

L’idée de cet article m’est venue suite à un petit miracle. Ne vous attendez pas à quelque chose de spectaculaire. En général les petits miracles sont discrets pour les autres mais importants pour soi. C’est un moment plus ou moins court, où soudain la magie de la vie semble nous atteindre. C’est une expérience intime. Et parfois quand on raconte l’expérience à autrui, elle semble moins spectaculaire. Mais quand on s’en souvient c’est alors une large palette de sensations qui surgit à nouveau à notre conscience. 


Grâce à mes choix de vie et ma relation avec l’existence, j’ai la chance de vivre dans une belle maison face à une immense forêt. Elle est ma source d’inspiration et de recueillement. Un jour où je m’y promenais avec mon chien, un chant de femme se fit entendre au loin. Je pris tout d'abord cela pour un rire. La voix semblait se rapprocher à grande vitesse. Je fus saisie par la beauté de l'instant. Je n’osais plus marcher de peur que la magie disparaisse : une voix d’ange au milieu de la forêt. 



Ce n’était pas un ange mais une jeune femme roulant en vélo à très grande vitesse et chantant un air de Mozart : Voi che sapete des Noces de Figaro. 
« Voi che sapete », « Toi qui connaît »… « toi qui connaît ». 


Elle passa devant moi. Je lui souris. Elle ne me vit pas. 


Durant quelques secondes qui me parurent une éternité (un des signes d’un petit miracle) je me sentis flotter, je me sentis portée par une énergie particulière. J’avais la conscience de vivre un moment unique. Cet instant est gravé à tout jamais dans ma mémoire comme un moment important. 



Bien entendu la phrase « toi qui connaît » fut chargée de sens un peu plus tard lorsque je pris le temps de réfléchir à ce qui venait de se passer. « Toi qui connaît »… l’accès au petit miracle et à la beauté.


Comment faire pour laisser entrer les petits miracles dans votre vie ?

1. Changer votre vision de la vie

Vivre des petits miracles n’est pas une question de chance mais une question de posture face à la vie, une question d’entraînement. Si vous partez du principe que les événements arrivent par hasard. Si vous pensez qu’il y a des personnes qui ont de la chance et d'autres qui n’en ont pas. Si vous pensez que, de toute façon, quoique l’on fasse, nous allons immuablement vers un destin tout écrit, alors les miracles risquent de se faire rares. 

Mais la bonne nouvelle est que vous pouvez changer votre façon de penser et votre façon d’interpréter le monde. Vous avez le choix ! Le choix de changer vos croyances envers l’existence, le choix de regarder les choses différemment, le choix de leur donner du sens. Vous allez donc troquer vos lunettes grises, celles qui vous font voir la vie terne pour des lunettes de couleur. Vous devez apprendre à abandonner une vision pessimiste des choses. 

Et alors vous verrez que la beauté est là autour de vous. Elle est présente mais parfois ne se manifeste qu’à ceux qui savent voir, qu’à ceux qui savent porter un autre regard sur le monde.

2. Inviter la beauté à entrer dans votre vie

La beauté est importante pour l’âme. Ceux qui y sont sensibles savent à quel point elle peut être indispensable dans notre quotidien. 

Aux yeux des neurosciences, "le cerveau ne produirait pas de réaction esthétique si cela ne servait à aucun but utile pour la survie*". Il existe une "fonction biologique et adaptative de l'esthétique" afin que notre expérience de l'esthétisme perdure dans le temps de génération en génération, inscrite dans notre ADN, permettant à notre espèce de rester relié. Relié les uns aux autres, connecté à la nature, à la Terre, à notre environnement. 

Mais d'un point de vue plus philosophique, la beauté permet à l'âme de s'élever, procure des sentiments nobles, facilite l'accès à la sérénité.


La sensibilité à la beauté est quelque chose qui se développe. Et il est peut-être plus difficile de voir la beauté au quotidien là où tout semble terne et banal. Invitez la beauté dans votre vie devient alors un challenge existant. Et pour cela il est nécessaire d'avoir une capacité à s'émerveiller du monde.



La beauté est tout autour de nous : la nature est beauté, l’art est beauté, la créativité est beauté, la noblesse d’âme est beauté ….


3. Comprendre que vous pouvez co-créer avec la vie

Les récentes découvertes en physique quantique nous ont permis de comprendre que nous baignons dans un bain d’énergie. Dans ce bain d’énergie de nombreuses informations circulent, nous ne les percevrons peut-être pas consciemment mais notre inconscient, lui, réceptionne une certaine quantité d’informations. Donc si vous émettez une information mentale ou émotionnelle, elle s’en va surfer sur les champs d’énergie du collectif. On peut imaginer que la vie est ce bain d’énergie. Ce résumé très simple nous permet de comprendre qu’il est possible d’envoyer une information et d’en recevoir les échos. 

Donc co-créer avec la vie c’est tout d’abord être attentif à ce qui nous arrive. Comprendre qu’il est possible de décoder le langage de la vie. Rien n’arrive par hasard et nous pouvons toujours faire quelque chose de ce qui nous arrive. 

Partant de ce principe nous pouvons donc adresser au monde le souhait de vivre des petits miracles. Ceci s’appelle la force de l’intention. Vous adressez au monde votre intention de vivre des petits miracles. 


Avez-vous conscience que vous êtes en train de vous offrir un bien beau cadeau ? L’opportunité de vivre différemment votre quotidien, d’ouvrir la porte à la beauté.


4. Etre ouvert à l’inattendu

Bien entendu les petits miracles arrivent quand on ne s’y attend pas. Il est donc indispensable de ne pas vouloir contrôler les choses et de simplement être ouvert aux possibilités. C’est un peu comme quand vous ouvrez les bras pour accueillir quelqu’un. Vous pouvez donc être ainsi mentalement disposé à recevoir, en totale ouverture. Et vous verrez bien ce que la vie décide de vous offrir. L'important est d'avoir confiance. Confiance en la vie mais surtout confiance en vous, en votre capacité à voir et à recevoir.

5. Prendre le temps d’observer

Nous avons vu plus haut qu’il est important de changer sa vision des choses. L’autre aspect important est d’être en capacité d’observer ce qui se passe autour de soi. Sans cette capacité à être attentif à ce qui se passe autour de soi, vous risquez de passer à côté de vos petits miracles. N’oublions pas, les petits miracles sont partout mais nous ne les voyons pas toujours, trop distraits par diverses informations parasites. Vous pouvez donc vous entraîner à regarder autour de vous quand vous en avez le temps et la possibilité. Et vous verrez de belles choses apparaître. Les hyper-sensibles ont la chance d’avoir cette capacité d’observation, plus sensibles que les autres aux sons, aux images, aux divers stimuli. Les hyper-sensibles sont en capacité de percevoir des détails qui peuvent échapper aux autres. 

Pour vous entraîner vous pouvez vous installer à une terrasse de café et observer les gens qui passent. Si vous prenez le bus ou le tram, prenez le temps de regarder à l'extérieur : la vie dans la rue, les affiches, les marchands, etc...


Puis de cette capacité d'observer, vous vous apercevrez que la capacité de contemplation n'est pas très loin. Offrez-vous des moments de contemplation : en forêt, dans un jardin, dans un musée, devant une rivière, dans le désert, face à l'océan....Et depuis votre terrasse de café, vous pouvez également contempler la vie de la ville et passer de l'observation des passants à la contemplation du mouvement de la ville.


6. Développer sa capacité d’émerveillement

Parfois les petits miracles sont là et on ne les voit pas. En fait ils sont tout le temps là mais nous sommes parasités par tellement d'informations que nous en devenons aveugles. Parasités par nos émotions, par un mental sans cesse en activité, par des stimulis extérieurs constants… C’est la raison pour laquelle la méditation et la contemplation sont les exercices préparatoires indispensables. 

La capacité à s’émerveiller est aussi un élément fondamental. Le processus interne de l’émerveillement s’apparente à l’ouverture et à l’accueil. Il prend racine dans notre âme d'enfant. Pour vous rapprocher de l'émerveillement souvenez-vous d'un magnifique moment de votre enfance, un moment où vous étiez émerveillés de tant de beauté, émerveillés que quelque chose comme ça existe sur Terre, que cela soit possible. Plus nous retrouvons la capacité à nous émerveiller face à la beauté de la vie plus nous sommes disposés à voir et recevoir les petits miracles.

7. La petite boite à miracle


Les petits miracles c’est comme les rêves, plus on les note plus il y en a. 
Toutes personnes travaillant sur les rêves nocturnes vous le diront.



Pour les petits miracles c’est pareil. 


Choisissez donc une très belle boite. Une boîte qui vous inspire, une boîte que vous aimez, une boîte qui n’a jamais servi à autre chose. 

Elle sera votre boîte à petits miracles. 

Chaque fois que vous vivrez ce que vous estimez être un petit miracle, vous le noterez sur une feuille que vous plierez et déposerez délicatement dans la boîte. Imaginez ce, qu'avec le temps, votre boîte contiendra ! Des dizaines, des centaines de petits miracles. Et tous ces petits miracles seront en fait….votre vie !

Et un jour quand vous en aurez besoin, vous ouvrirez la boîte et revivrez tous ces petits miracles qui vous ont accompagné ces derniers mois ou années.

8. La gratitude

Quand on sait que nous allons recevoir un très beau cadeau, généralement nous ressentons de la gratitude pour les personnes qui sont à l’origine de cette idée. 
Alors je vous propose de ressentir dès à présent de la gratitude pour la vie qui va vous offrir plein de petits miracles. Faire émerger ce sentiment vous permet d’être déjà disposé à accéder à la beauté. 

Vous pouvez déjà remercier la vie pour cela. 

Mais il y a une personne qu’il ne faut surtout pas oublier. C’est vous même, car vous êtes à l’origine de tout. C’est vous qui avez décidé de lire cet article. C’est vous qui avez décidé de le lire jusqu’au bout. C’est vous qui avez déjà mis en place les diverses étapes pour vivre des petits miracles. Alors vous pouvez dès à présent vous remercier pour ce très beau cadeau que vous vous faites. 

Au début de cet article j’ai partagé avec vous un de mes petits miracles. Si des petits miracles surviennent dans les prochains jours, semaines ou mois, n’hésitez surtout pas à les partager avec moi. J’en serai ravie. Vous pouvez partager dans l’espace ci-dessous si le cœur vous en dit. Cela sera notre petite boîte à miracles collective. 


Partager de belles choses c’est créer un petit miracle pour quelqu’un d’autre. 

J’espère que ce texte a été un joli moment pour vous et si il a participé à faire de votre journée un petit miracle alors cela sera pour moi aussi un bien joli miracle.



Bénis sont ceux qui voient de la beauté dans d’humbles lieux là où d’autres n’y voient rien. Camille Pissarro




9 juin 2016 -  Géraldyne Prévot Gigant
www.geraldyneprevot.com